Temps de répit – Temps de vie

Guide de l’accueil familial et des proches aidants

Bien vieillir c’est vieillir ensemble dans la dignité

Luttons contre l’isolement, l’insécurité, la maltraitance, la solitude et l’indifférence

Le réconfort et le soutien dans un hébergement d'accueil de part-ages à une personne accueillie.
  • l’accueil direct, ou de gré à gré, de personnes âgées ou handicapées par
    des accueillants familiaux ;
  • le salariat des accueillants familiaux par une personne morale de droit
    public ou de droit privé.

Les accueillants familiaux jouent un rôle essentiel dans le maintien du lien social et du bien-être des personnes âgées. Leur engagement dépasse largement le cadre d’un simple hébergement : c’est une véritable mission de cœur.

Accueillir une personne âgée chez soi, c’est lui offrir un cadre de vie chaleureux, sécurisant et humain. Les accueillants familiaux assurent une présence constante, attentive aux besoins physiques, émotionnels et relationnels de la personne accueillie. Ils veillent à son confort, à sa santé, à son alimentation, mais aussi à son moral, souvent fragilisé par l’isolement ou la perte d’autonomie.

Ce choix de vie demande une grande disponibilité, de la patience et une capacité d’adaptation. Les accueillants familiaux créent un véritable lien affectif avec la personne âgée, fondé sur la confiance, le respect et la dignité. Ils deviennent souvent des repères, des confidents, voire des membres de la famille de cœur.

Contrairement aux établissements, l’accueil familial permet de préserver une vie plus intime, plus libre, dans un environnement familier. Ce cadre favorise le maintien des capacités, la valorisation de la personne et le respect de son rythme de vie.

Souvent peu connus du grand public, les accueillants familiaux méritent une reconnaissance à la hauteur de leur engagement. Leur dévouement contribue à offrir aux personnes âgées une fin de vie digne, entourée, et empreinte d’humanité.

L'aide à l'hydratation dans un hébergement d'accueil part-ages pour personne âgées.

assistance personnelle 24h/24 et 7j/7, préservation des liens sociaux, repas, entretien du linge…

fixée à 29,70 euros brut/jour minimum

calculée en fonction de la perte d’autonomie sur la grille AGGIR

comprise entre 4,39 et 17,34 euros/jour

correspondant à 10% de la rémunération de services rendus

basée sur le prix moyen du secteur en fonction de la qualité et la taille des pièces, librement négociée mais sous le contrôle du département

eau, électricité, chauffage, produits d’hygiène et d’entretien, alimentaire

comprise entre 8,44 et 21 euros/jour

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La détente entre personnes accueillies en hébergement familial part-ages

Estimez le coût de votre accueil

Au total, les frais d’accueil sont fixés à : (1+2+3+4)…………….par jour soit ……………. par mois

Aide primordiale dans les moments de difficultés avec l'accueillant familial.
La joie de retrouver ou de recevoir ses proches en accueil familial.

Les avantages de l’accueil familial

Ce contrat stipule les obligations de l’accueillant familial :

Les obligations de la personne accueillie sont :

L’APA : aide personnalisé pour l’autonomie.

La PCH : prestation de compensation du handicap.

AL : Allocation logement.

L’aide personnalisée au logement :

L’allocation de logement sociale :

Crédit d’impôts

Exonération des charges patronales de Sécurité Sociale

Pour devenir accueillant

Le quotidien d’une personne accueillie

une vue générale

Partage de bien-être et de plénitude durant une promenade en hébergement part-ages pour personnes âgées

Le contrat d’accueil de gré à gré

L’accueillant familial agréé et chaque personne accueillie ou, s’il y a lieu, son représentant légal signe obligatoirement un contrat d’accueil.

Ce contrat, conclu dans le cadre d’une rémunération directe de l’accueillant familial agréé par la personne accueillie, fixe les conditions matérielles, humaines et financières de l’accueil.

Pendant la période d’absence de l’accueillant familial pour congés :

  • Lorsque la personne accueillie reste au domicile de l’accueillant familial permanent. Le remplaçant, l’accueillant et la personne accueillie ou son représentant légal signe l’annexe au contrat d’accueil.
  • Lorsque qu’un un autre accueillant familial héberge la personne accueillie. La personne accueillie signe un contrat d’accueil temporaire avec l’accueillant familial remplaçant.

La rupture de contrat et le préavis en accueil familial

Les personnes âgées accueillies peuvent êtres des personnes valides qui souhaitent briser la solitude ou des personnes âgées en perte d’autonomie qui ne peuvent plus prendre soin d’eux-mêmes et qui ont besoin d’une aide pour les gestes de la vie quotidienne (pour faire leur toilette, s’habiller, préparer les repas…).

La validité d’une personne, souhaitant intégrer une famille d’accueil, est mesurée par le système d’évaluation appelé « grille AGGIR » (autonomie gérontologie groupes iso-ressources).

Cette grille AGGIR permet de mesurer les capacités de la personne âgée à accomplir 10 activités corporelles et mentales, (activités discriminantes) ainsi que 7 activités domestiques et sociales (activités illustratives) lorsqu’une personne âgée fait une demande d’APA.

En général, les personnes accueillies en Famille d’Accueil ont un GIR entre 2 et 5. 

  • Les malades confinées au lit ou au fauteuil, dont les fonctions mentales sont gravement altérées nécessitant une présence indispensable et continue.
  • Les personnes en fin de vie
  • Les personnes alitées ou au fauteuil ayant des fonctions mentales semi altérées, mais dont l’état exige une prise en charge pour la plupart des activités de la vie courante
  • Les patients possédant des fonctions mentales altérées, mais qui sont capables de se déplacer et qui nécessitent une surveillance permanente
  • les patients disposant de leurs autonomies mentales, partiellement de leur autonomie locomotrice, mais qui ont besoin quotidiennement et plusieurs fois par jour d’une aide pour les soins corporels
  • Les personnes n’assumant pas seuls ses transferts, mais qui, une fois levée, peuvent se déplacer à l’intérieur de son logement, et qui ont besoin d’aides pour la toilette et l’habillage
  • Les personnes n’ayant pas de problèmes locomoteurs, nécessitant une aide pour les soins corporels et les repas
  • Les personnes ayant seulement besoin d’une aide ponctuelle pour la toilette, la préparation des repas et le ménage

Il est très important en tant qu’accueillant de prendre en compte ce type d’évaluation, afin de savoir si vous aurez la capacité de prendre en charge la personne âgée proposée.

Chaque nouvel accueilli doit être vu dans le projet mis en place par chaque accueillant familial. Il faut une osmose entre les accueillants et les accueillis pour que la vie en communauté se passe le mieux possible. Par exemple, si vous accueillez déjà deux personnes qui aiment sortir et faire des balades, il serait dommage d’accueillir une personne avec des difficultés pour se déplacer car cela pourrait empêcher les sorties avec vos deux premiers accueillis. Il en est de même au niveau cognitif, une personne sans problème cognitif pourrait avoir du mal à cohabiter avec une personne ayant un Alzheimer avancé. 

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La vieillesse

Partage de bien-être et de plénitude durant une promenade en hébergement part-ages pour personnes âgées
L'entraide intergénérationnelle concerne aussi les proches aidants.

Un proche aidant est une personne qui apporte un soutien à un ou plusieurs membres de son entourage ayant une incapacité, qu’elle soit temporaire ou permanente, et ce, sans rémunération.

Les proches aidants peuvent être de tout âge et proviennent de divers milieux. Selon la Loi visant à reconnaître et à soutenir les personnes proches aidantes, un proche aidant est défini comme une personne qui fournit un soutien à un membre de son entourage présentant une incapacité, peu importe leur âge ou leur lien affectif. Ce soutien peut inclure des tâches telles que le transport, l’aide aux soins personnels, le soutien émotionnel, et la coordination des soins. 

Le soutien apporté par les proches aidants peut prendre plusieurs formes, notamment :

la loi n¤2005-102 du 11 février pour l’égalité des droits et des changes, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées rend officiels la place et le rôle des aidants familiaux. A titre d’exemple, un aidant familial d’une personne en situation de handicap qui apporte une aide humaine à son proche bénéficiant d’heures d’aide accordées par la PCH (prestation de compensation du handicap) peut percevoir un dédommagement.

La loi n¤2015–1776 du 28 décembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement définit la notion de « proche aidant » d’une personne âgée en perte d’autonomie, en l’élargissant à l’entourage (voisin, ami…) il s’agit :

  • du conjoint
  • du partenaire avec qui la personne âgée en perte d’autonomie a conclu un pacte civil de solidarité ou son concubin
  • d’un parent
  • d’un allié ou d’une personne résidant avec elle ou entretenant avec elle des liens étroits et stables comme un voisin ou ami qui lui apporte son aide pour une partie ou la totalité des actes de la vie quotidienne de manière régulière et fréquente, et à titre non professionnel.

Prendre soin d’une personne âgée, en situation de handicap ou malade est possible grâce à l’allocation d’accompagnement d’une personne en fin de vie. Cependant cette responsabilité a un impact non négligeable sur la santé physique et mentale des proches aidants. C’est pourquoi la loi du 28 décembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement a instauré le droit au répit.

S’occuper au quotidien d’un proche a des conséquences importantes pour l’aidant, tant sur sa propre santé et son moral que sur sa vie professionnelle ou sur son budget. Et pour cause, pour préserver l’autonomie à domicile de ce proche, son rôle est de gérer toutes les petites tâches chronophages et énergivores : ménage, courses, aide à la toilette, préparation des repas, prise de rendez-vous médicaux, formalités administratives, etc.

Pour se prémunir contre le stress, l’anxiété, la fatigue et le burn-out, il est donc indispensable de pouvoir s’accorder une véritable pause, sans pour autant délaisser le proche. C’est le droit au répit. D’un montant de 573,77 € par an, il permet soit de financer l’hébergement de la personne aidée dans une structure adaptée où des professionnels prendront soin d’elle ou bien, de faire venir une aide au domicile ou une remplaçante.

Vous vous occupez d’une personne âgée, en situation de handicap ou malade et souhaitez prendre du temps pour vous ressourcer avec le droit au répit ? Voici les critères à remplir pour en profiter.

Il faut notamment être considéré comme un proche aidant et assurer une aide indispensable au maintien de la personne dépendante dans son logement. Cette dernière doit également être bénéficiaire de l’APA (Allocation Personnalisée d’Autonomie) et avoir atteint le plafond de son plan d’aide.

S’absenter quelques heures ou quelques jours pour soi est crucial pour les proches aidants. Le droit au répit vous permet donc de bénéficier d’une aide de 573,77 € par an.

Ce montant correspond à :

  • Deux semaines environ en accueil de jour ;
  • Une semaine environ en hébergement temporaire ;
  • 25 heures environ d’aide à domicile.

Le droit au répit permet donc de faire appel à des professionnels qui se chargeront de s’occuper de la personne dépendante. Ce peut être :

  • L’accueil de jour : souvent proposé par les accueillants familiaux, l’accueil de jour offre aux aidants la possibilité de se libérer du temps durant la journée. Les personnes en perte d’autonomie ou atteintes de maladies neurodégénératives apprécieront particulièrement les activités animées par les soignants et le fait de pouvoir sortir de leur domicile en toute sécurité.
  • L’hébergement temporaire : contrairement à l’accueil de jour, l’hébergement temporaire est destiné à prendre le relai du proche aidant sur plusieurs jours, voire plusieurs semaines (et jusqu’à 3 mois maximum). Ainsi, les personnes dépendantes seront prises en charge en dehors de leur domicile par des professionnels et les aidants pourront s’absenter le temps d’un week-end ou s’octroyer des vacances. Cela peut également être un premier pas avant une entrée définitive en accueil familial.
  • Les aides à domicile : ces professionnels agréés viennent directement au domicile de la personne dépendante. Il existe plusieurs organismes suivant les besoins de cette dernière. S’il s’agit de l’accompagner dans les tâches du quotidien (entretien de l’habitat, aide au repas, compagnie, etc.), les SAAD (Services d’Aide et d’Accompagnement à Domicile) peuvent être contactés. Si le proche en perte d’autonomie a besoin de soins, mieux vaut plutôt solliciter les SSIAD (Services de Soins Infirmiers À Domicile) ou les SPASAD (Services Polyvalents d’Aide et de Soins À Domicile) qui peuvent réaliser des actes médicaux.

L’allocation journalière du proche aidant est un revenu de remplacement qui s’adresse au proche aidant d’une personne en situation de handicap ou de perte d’autonomie qui réduit ou cesse son activité professionnelle pour aider cette personne.

Au 1er janvier 2023, le montant journalier de l’allocation journalière du proche aidant est fixé à 62,44 €. 

Pour en savoir plus, consultez l’article L’allocation journalière de proche aidant, qu’est-ce que c’est ?

L’aide au répit permet aux proches aidants de personnes âgées bénéficiant de l’APA (allocation personnalisée d’autonomie) de se reposer ou de dégager du temps en finançant des solutions d’aide comme :

Par ailleurs, en cas d’hospitalisation du proche aidant, une aide ponctuelle permet de financer l’hébergement temporaire de la personne aidée ou un relais à domicile.

Pour en savoir plus, consultez l’article L’aide au répit dans le cadre de l’APA

Les aidants peuvent bénéficier d’aides fiscales si :

  • ils hébergent durablement leur proche âgé chez eux,
  • s’ils participent à ses frais d’hébergement en accueil familial.

Pour en savoir plus, consultez l’article Vous aidez un proche âgé : quelles aides fiscales ?

Il est possible d’être rémunéré pour l’aide apportée à un proche âgé en perte d’autonomie, en devenant son salarié. En effet, la loi l’autorise une personne bénéficiaire de l’APA (allocation personnalisée d’autonomie) à employer un membre de sa famille (à l’exception du conjoint, concubin ou partenaire de PACS) en tant qu’aide à domicile dans le cadre de l’APA qui lui est accordée. L’APA permet ainsi de rémunérer le membre de la famille qu’elle salarie.

Pour en savoir plus, consultez l’article Être rémunéré pour l’aide apportée à son proche

Les formations à destination des proches aidants d’une personne âgée en perte d’autonomie se développent depuis quelques années. Ces formations à destination des aidants ne sont pas des formations professionnelles, mais des formations permettant de réfléchir à son rôle d’aidant. Les objectifs : mieux se positionner dans son rôle d’aidant, préserver la qualité de la relation avec son proche, mieux connaître la maladie affectant son proche, ses conséquences sur la vie quotidienne et de pouvoir s’y adapter… 

Pour en savoir plus et découvrir les nombreuses formations proposées en présentiel ou en distanciel, consultez l’article Se former.

Afin de permettre aux proches aidants de bénéficier de temps de pause, des solutions existent comme l’hébergement temporaire ou l’accueil de jour. Ces solutions sont également bénéfiques à la personne aidée qui bénéficie d’un accompagnement adapté à sa situation.

Pour en savoir plus, consultez l’article Avoir du temps libre.

Différents lieux existent partout en France pour accompagner les proches aidants de personnes âgées en perte d’autonomie : plateformes d’accompagnement et de répit, cafés des aidants… On peut s’y informer sur les aides et les démarches et y partager des expériences.

Pour en savoir plus, consultez l’article S’informer et échanger

le répit des aidants

Trouver l’accueil familial ou le(la) remplaçant(e)

Les aides pour personnes handicapées.

Les dispositions des Articles L232-3 et suivant du code de l’action sociale relatives à la procédure d’instruction de la demande d’APA à domicile, à savoir l’élaboration d’un plan d’aide par l’équipe médico-sociale, les montants maximum de plan d’aide en fonction du degré de perte d’autonomie, de même que les modalités de calcul de la participation financière à domicile sont applicables à l’accueil familial.

La perte d’autonomie est évaluée sur le lieu de vie du demandeur. Les dépenses prises en charge, prévues par l’Article L232-3, déclinées par l’Article R232-8 du CASF s’entendent notamment, du règlement de la rémunération de l’accueillant familial (à l’exception de l’indemnité représentative des frais d’entretien et de l’indemnité représentative de la mise à disposition des pièces). Ainsi que les dépenses de toute nature visant l’ensemble des services et prestations contribuant à retarder, contenir, accompagner et compenser la perte d’autonomie. Certains services prévus dans le contrat d’accueil familial apparaissent au plan d’aide. Dans ce cas l’APA pourra couvrir tout ou partie de la rémunération pour services rendus ou de la rémunération garantie par l’accueillant familial agréé.

  • En premier, l’indemnité en cas de sujétions particulières.
  • Ensuite tout ou partie de la rémunération pour service rendu ou de la rémunération garantie.
  • Puis, la rémunération d’un intervenant extérieur dans des situations particulières, telles que l’accueil simultané de l’accueillant familial de plusieurs personnes âgées relevant de groupes de perte d’autonomie les plus lourds, ou de personnes handicapées, ou en raison de difficultés, le cas échéant ponctuelles, rencontrées par l’accueillant familial agréé.
  • enfin, des services de transports accompagnés des aides techniques.

lorsque la personne âgée, déjà bénéficiaire de l’APA conclu un contrat d’accueil familial, elle doit demander sans délai au Conseil départemental une notification de son plan d’aide conformément à l’Article R 232-28 qui prévoit que la décision peut-être révisée à la demande de l’intéressé ou le cas échéant son représentant légal.

Les personnes handicapées accueillies en accueil familial peuvent bénéficier de la prestation de compensation à domicile.

Le référentiel figurant à l’annexe 2-5 du CASF détermine le calcul du montant attribué pour l’aide humaine. Les besoins de compensation de la personne handicapée fixe le temps d’aide humaine. Le nombre d’heures déterminées et ensuite valorisé au tarif de l’emploi direct. La personne handicapée bénéficiaire de la PCH choisit l’aidant de son choix pour réaliser les heures d’aide humaine. Par ailleurs, la personne peut décider que toute ou partie de l’aide soit pour l’accueillant familial.

La grille AGGIR est un référentiel officiel employé par les équipes médico-sociales pour mesurer le degré de dépendance d’une personne âgée. Elle sert principalement à déterminer l’éligibilité et le montant de l’APA (Allocation personnalisée d’autonomie).

La grille comporte 17 variables, réparties en deux catégories :

Chaque variable est notée selon trois modalités :

L »ASH sert à payer tout ou une partie des frais d’hébergement que facture l’accueillant familial. L’aide sociale à l’hébergement paie la différence entre le montant des frais d’hébergement et ce que peut payer la personne accueillie, voire ce que peuvent payer ses obligés alimentaires. Le département peut récupérer l’ASH versée, du vivant ou au décès de la personne.

L’administration fiscale rembourse le crédit d’impôt, aux foyers imposables (sur le montant de l’impôt) et non-imposables (par chèque). Par exemple : si vous payez 12 000 euros par an de rémunération de l’accueillant familial, le crédit d’impôt vous ouvre le droit à 6 000 euros de remboursement.

Les personnels de santé

Voici un comparatif clair entre SSIAD, HAD et EHPAD : trois dispositifs différents mais complémentaires pour la prise en charge des personnes âgées ou dépendantes.

En résumé, les SSIAD en accueil familial garantissent la continuité des soins médicaux et d’hygiène, tout en permettant aux personnes fragiles de vivre dans un cadre familial sécurisé et humain.

Aide primordiale dans les moments de difficultés avec l'accueillant familial.
L'entraide et l'échange de connaissances au sein d'une famille d'accueil

A ce propos, la personne accueillie rémunère les remplaçants pour services rendus ainsi que pour l’indemnité en cas de sujétions particulières, à condition que la personne accueillie reste au domicile de l’accueillant familial. A ce titre, les sommes perçues sont soumises au régime fiscal et de cotisations sociales obligatoires des salaires.

Charte des droits et libertés de la personne âgée dépendante

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